Avec la réintégration d'Adrien Quatennens et le énième coming-out d'un membre du gouvernement, il est acquis que notre République est aujourd'hui une République malsaine et malade de l'intérieure dirigée par un sociopathe mégalo qui, aujourd'hui, s'en prend à la toute puissance américiane...
Dans ces conditions d'ammoralité et d'abus de pouvoir caractérisé bien difficile ppur le Conseil Consitutionnel d'affirmer, par la censure, que l'âge légal du départ à la retraite n'a rien à faire dans une loi de finances. Que c'est une disposition qui relève de la loi oridinaire.
Si le Conseil Consitutionnel cède donc à l'ammoralité totale de notre République alors demain une loi de finances (donc avec débats raccourcis et recours illimité au 49-3) pourra faire passer l'âge légal de départ en retraite à 66 puis 68 ans.
Idem pour le délai pour pouvoir avorter. Rallongé il y a peu à 14 semaines il pourra l'être à 18 voir sans limitation par une simple loi de finances. Idem pour le consentement à une opération médicale voir une vasectomie et demain le suicide assisté.
Et puis l'âge pour détenir un livret pourrait aussi être modifié par une simple loi de finances. Et l'âge pour passer le permis de conduire. Tout n'est que finances et comptablités au pays malsain de Macron le fourbe.
Oui tout est malsain dans notre République. Malsain jusqu'à la décision du Président de faire adopter, contre l'évidence, un âge de départ à la retraite par une simple loi de finances avec débats raccourcis et 49-3 illimité. Malsain jusqu'à la prétendue juridiction du Conseil Consitutionnel chargé de veiller justement au respect de la dite Constitution ?
Nous serons fixés ce 14 avril 2023.