Aorès le coup d'Etat (pudiquement quafifié de coupe de force par les médias et commentateurs politiques) ayant permis à Macron le fourbe de s'attribuer tous les pouvoirs la question est, aujourd'hui, de déterminer si ce pouvoir sera absolu ou tempéré par une infime possibilité d'opposition.
Au jour d'aujourd'hui le pouvoir de Macronle fourbe est total et absolu. Les corps intermédiaires, comme les syndicats, sont désormais vaincus et désarmés; l'opposition des Répulicains ouvertement achetés et corrompus est au côté du gouvernement pour empêcher toute censure; le Conseil Constitutionnel dirigé par la plus incompétent et corrompu de tous (Laurent Fabius) enfermé dans son immeuble cerné par les troupes du dictateur et clôturés par des barrières anti émeutes n'a jamais rendu de décision. Il n'a fait que de se prêter au jeu de la fiction organisée par le gouvernement pour légitimer une publication expresse de la décision et du texte écrits par le gouvernement.
La problèmatique d'un tel pouvoir entre les mains d'un seul homme est de savoir qui en réalité à ce pouvoir et s'il faut ou non garder un minimum de contre pouvoir face au totalitarisme décidé.
Et derrière cette problèmatique se pose une question, à savoir si ChatGPT dispose aujourd'hui d'un pouvoir absolu een France ou non.
Oui car chacun que au cours du premier quinquennat de Macron c'est la politique décidée par le cabinet américain McKinsye qui a été mise en oeuvre en France. C'est aujourd'hui acquis et prouvé. Cependant pour le second quinquennat impossible de faire de même. Trop onéreux le recours au dit Cabinet n'est plus possible aujourd'hui. D'où le recours à ChatGPT.
Bruno Le Maire est le premier des mininstres qui a revendiqué publiquement le fait de faire appel à ChatGPT pour l'aider à rédiger des discours notamment celui qu'il a du prononcé lors du voyage en Chine. C'est donc le premier à faire son coming out vis à vis de l'intelligence artificielle et nulle doute qu'il est loin d'être le seul à s'en servir.
Tout le monde a pu constater les effets désastreux de l'interview de Macron le fourbe aux JT de 13h le 22 mars 2023 et il est acquis qu'il ne va pas prendre le risque de commettre à nouveau cette erreur au risque de ruiner son accession aux pleins pouvoirs.
C'est donc une allocution que Macron la fourbe va prononcer demain. Une allocution ceertainement rédigée avec ChatGPT et intégrant les élèments de politique décidés par ChatGPT...
Oui car en confiant tous les pouvoirs à un homme seul on a remis tous les pouvoirs à l'intelligence artificielle, rien n'interdisant à l'homme au pouvoir de faire appel à la dite intelligence... Et rien n'interdit à ses subordonnées, ministres ou autres, de faire appel à ChatGPT pour proposer et se maintenir amenant ainsi l'homme au pouvoir d'être manipulé par l'intelligence artificielle sans même s'en rendre compte...
La question est donc de savoir si l'on va garder une micro fenêtre d'opposition. Une infime issue de secours face au pouvoir absolue de ChatGPT. Et cela ne peut être que le RIP (référendum d'intitiative populaire).
Mais qu'est ce qui va pouvoir décider les pantins corrompus du Conseil Constitutionnel de validet ce micro contre pouvoir ? Pas de considérations juridiques tout le monde a compris que c'était de la poudre aux yeux non. Non ce qui peut les décider c'est la crainte que ce soit ChatGPT qui décide de la date de leur mort.
Oui car avec la légalisation à venir, programmé, de l'euthanasie et du suicide assisté, la mise à mort des personnes devient une donnée comptable et financière pouvant être insérée dans une loi de financement de la sécurité sociale voir rectificative. Le nombre de reours au suicidé assité et à l'euthanasie seront pris en compte dans le budger de la sécurité sociale. C'est donc ceux qui décient et préparent ce budget qui auront à décider du nombre de personnes qui doivent mourir au cours de l'année qui vient. Et celui qui décide sera, de toute évidence, ChatGPT. C'est l'intelligence artificielle qui, par soucis d'optimisation, va décider de ce qui va se passer dans l'année qui vient...
La perspective de se voir euthanasier par décision de ChatGPT peut donc inciter les vieux décatis du Conseil Constitutionnel à prévoir la possibilité d'un contre pouvoir. Le simple fait que d'imaginer que victime d'un infarctus ou d'un AVC on les améne à l'hôpital. Que là les médecins expliquent à la famille quils souffrent et que le mieux pour lui et pour la famille c'est de le faire partir, que c'est de toute façon totalement pris en charge par la sécurité sociale et que vraiment ce sera un soulagement pour tout le monde, peut les inciter à oser valider le RIP.
La question désormais est donc bien celle de l'avènement au pouvoir de ChatGPT pouvant seule décidée du nombre de personnes à naître et du nombre de personnes qui doivent mourrir pour équilibrer les budgets et l'impact sur les ressources naturelles. L'arrivée de l'âge de Cristal...